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Négocier un prêt étudiant : à étudier !

Alexis Debril
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© Pixabay

D’après le Télégramme, en cas de besoin pour financer ses études, il ne faut pas hésiter à négocier un prêt étudiant avec son banquier et encore moins avoir peur de le faire.

En effet début juillet, le Télégramme publiait un article vantant les avantages du prêt étudiant, une démarche qui ne consiste pas à quémander car le sollicitant est bien loin d’être en position de faiblesse.

Donc recommandation du journal : ne pas avoir peur du banquier ! Partons du principe qu’il est là aussi pour ça, mais surtout qu’un étudiant c’est un futur salarié, donc un prospect pour de futures offres commerciales : prêts immobiliers, crédits autos, assurances diverses, etc. Donc la banque en consentant un prêt finalement peu risqué va autant investir sur son avenir que sur celui du jeune ! De plus, elle trouvera en lui un client parfois moins chronophage que ses ainés, puisque rompu à la gestion numérique de ses relations avec la banque.

Position de faiblesse quand on négocie un prêt étudiant ? Que nenni précise donc le Télégramme. Position de force plutôt considérant le retour sur investissement que peut représenter un tel client.

Fort de ce constat, à notre étudiant et/ou sa famille de faire jouer la concurrence. La banque des parents ne cherchera pas nécessairement à sortir de sa zone de confort à laquelle la fidélité des ainés l’a habituée. Si les taux sont intéressants (autour de 1%), il est également intéressant de consulter les banques en ligne où les taux proposés peuvent être extrêmement avantageux.

Modalités. Elles sont définies au cas par cas précise le journal. Les montants peuvent varier de 500 € jusqu’à 50 000 €, la moyenne en France se situant entre 10 000 et 15 000 €. Quant aux modalités de remboursement, elles sont également négociables. Le remboursement commence généralement une fois les études finies. Entre deux et sept ans de franchise sont proposées.

Pour les étudiants ne disposant pas de caution bancaire, il existe également le prêt étudiant garanti par l’État, mais attention toutes les banques ne le proposent pas.

Et en cas d’échec dans ses études ? Comme toujours ne jamais se mentir à soi-même et encore moins à son banquier. Ensemble, vous trouverez des solutions.

Mais n’êtes-vous pas parti pour gagner ! Cela commence par négocier du mieux possible les moyens d’atteindre vos objectifs…

Alexis Debril
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