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Les consultants Scotwork : des formateurs bien formatés mais tous terrains.

Emmanuelle

 

Ils vous accompagnent en binôme durant vos stages, maitrisent à la perfection tous les rouages de la négociation ainsi que la manière de vous transformer en négociateur accompli… Ils ont le sens de l’à propos et de l’humour, tout en faisant preuve de sérieux… Ils savent gérer toutes les situations et être en empathie avec chaque personnalité… Des oiseaux ou des perles rares ! Tout simplement des hommes et des femmes passionnés par l’art de transmettre et surtout convaincus comme l’explique Xavier Debril, président de Scotwork France que « la négociation vous ouvre les portes du succès mais qu’elle est aussi gage de civilisation… une urbanité qui permet, quelles que soient ses différences culturelles et de points de vue, de mieux aller à la rencontre de l’autre, de se comprendre, de s’écouter pour mieux s’entendre ». Profilage des formateurs Scotwork : qui sont-ils, comment sont-ils formés mais aussi évalués ?

Des parcours dans de grandes entreprises au sein de directions commerciales, marketing, achats, ressources humaines, les consultants Scotwork bénéficient avant tout d’une expérience opérationnelle de premier ordre. En effet, durant plus d’une dizaine d’années, ils ont eut à gérer des négociations internes et/ou externes.

Comment sont-ils recrutés chez Scotwork ? Tout d’abord sélectionnés dans leur pays d’origine, ils seront ensuite reçus au siège en Ecosse lors d’une réunion de recrutement, puis s’ensuit une journée de mise en situation… En anglais, bien sûr, la parfaite maitrise de la langue de Shakespeare est incontournable. « On ne cherche ni guru, ni tout à l’égo », rappelle Xavier Debril, « mais à appréhender leur réelle capacité de transmettre et leur ouverture à l’autre ». « Ils doivent être des guides et non des professeurs, ajoute t’il, accompagner, ce n’est ni pontifier, ni pérorer ».

Une fois sélectionnés, ils sont immergés dans un programme « train the trainer »… Pour devenir formateur du stage de Techniques de Négociation Avancées Niveau 1 et 2, un cursus de six mois leur sera nécessaire, durant lequel ils intégreront les fondamentaux Scotwork et en valideront la maitrise à chaque étape.

Une fois lancés in situ, partant du principe que « délégation, n’exclut pas contrôle », ils seront régulièrement évalués. En premier, par les stagiaires eux-mêmes dont les appréciations (questionnaires de satisfaction) remontent au siège pour être analysées et traitées. En second, par le responsable du stage qui leur apportera des suggestions et les stimulera afin qu’ils ne s’installent pas dans une forme de routine… Scotwork met en effet, tout en œuvre pour s’adapter aux attentes et au contexte des stagiaires, et les anticipe même.

A tout instant un visiteur du siège peut aussi s’inviter à un stage pour évaluer les performances de ses animateurs qui obligatoirement tous les deux ans participeront à Glasgow à un stage de formation continue afin d’également valider des niveaux de formation supérieurs, jusqu’au coaching que nous développons de plus en plus.

Chaque bureau Scotwork s’appuie sur un réseau de consultants permanents mais aussi extérieurs ayant le même cursus d’apprentissage. Notons que chaque consultant anime au minimum 25 sessions par an. S’il s’avérait qu’un consultant extérieur n’ait pas exercé depuis six mois, il serait obligé de reprendre son apprentissage à zéro.

Chez Scotwork, l’assurance qualité est une priorité, et la garantir de manière pérenne l’est tout autant. « Il n’est de richesses que d’hommes » dit l’adage, « et ces richesses, nous devons les façonner, les évaluer, les faire fructifier, les stimuler parmi tous nos fers de lance que sont nos consultants », explique Xavier Debril.

Si cette assurance qualité est déjà reconnue sur un plan international grâce à la certification CPD, Scotwork France s’est engagé depuis quelques mois dans une démarche visant à obtenir la norme ISO.

Pour conclure, une citation qui pourrait être le mot d’ordre de Scotwork : « former les hommes, ce n’est pas remplir un vase, c’est allumer un feu ». (Aristophane).

 

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