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Négociation et Noël : un parallèle inattendu mais inspirant

Pascal Fournier

Un parallèle entre la négociation et Noël ? « Capillotracté » ? Il suffit d’y croire ! En réalité, les deux partagent plus de points communs qu’il n’y paraît : anticipation, écoute, concessions et… un soupçon de magie.

Le négociateur réaliste face à la magie des promesses

En négociateur avisé, vous savez qu’il faut être préparé, réaliste et appuyer vos positions sur des faits, des arguments et des données concrètes. Si l’heure est aux cadeaux et aux bonnes résolutions, vous savez aussi qu’on ne peut promettre que ce que l’on peut tenir. À l’inverse, comme le rappelle l’adage politique, « les promesses n’engagent que ceux qui y croient ». Une stratégie du rêve que vous n’appliqueriez pas dans vos échanges professionnels.

Quand croire redevient une force

Et pourtant, en cette veille de Noël, difficile de résister à la symbolique et à la magie de cette fête. Elle illumine les regards des enfants, mais aussi celui des adultes qui acceptent, le temps d’un instant, d’y croire encore. Comme avant une négociation, chacun établit sa liste de souhaits, sachant que tous ne se réaliseront pas, mais que certains deviendront réalité grâce à un effort mutuel.

Un peu d’histoire pour nourrir la réflexion

La première lettre au Père Noël remonterait à 1647, signée par Blaise Pascal et adressée à un père jésuite nommé Étienne Noël. Quant au Père Noël moderne, il n’a fait son apparition dans nos foyers qu’après la Seconde Guerre mondiale, importé des États-Unis malgré de vives protestations. Le sapin vient d’Allemagne, et la bûche rappelle la tradition médiévale de brûler un tronc toute la nuit précédant la fête de la Nativité.

Pascal Fournier
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